L'idée de ce post m'est venu ce matin - un croissant à la main, la mug de café crème fumant à coté de l'écran - par la rencontre entre :
- le (quasi) anagramme : "e" "don't be evil" (devise historique de Google) et "don't believe".
- et la fissuration progressive, sur ce forum, des enthousiasmes pour le web2.0 et google.
Alors continuons :
- le (quasi) anagramme : "e" "don't be evil" (devise historique de Google) et "don't believe".
- et la fissuration progressive, sur ce forum, des enthousiasmes pour le web2.0 et google.
Avant dernier sujet : Dictature plus web 2
Dernier post :
Dernier post :
Peut-être faut-il simplement ne pas créditer le Web d’une subversion dont il n’est ni dépositaire ni emblématique. Ou alors, c’est cette subversion de surface, faussement démocratique, à l’image de la récupération grimaçante qu’en font les médias. Peut-être faut-il modestement et courageusement s'en tenir à mener une vie subversive, jour après jour.
"Santé, maladie et Internet : subversion ET subordination ?"
- Faut-il s'alerter de la position monopolistique et ambiguë (orientation des accès au savoir dans un champs de force mercantile) de Google ??? (voir là et là aussi)
- Le websanté 2.0 a t-il modifié le rapport [subordination >> subversion] ancien ? Pensez-vous que ce rapport va se rééquilibrer par l'intercession du 2.0 ou au contraire : [subordination >>>>>
subversion] ??? (Voir là et là aussi et pour la subversion : "activisme-sante" )
" Believe or don't believe "e" don't be evil ? "
Ou
" In WebSanté2.0 we trust ? "
Ou
" In WebSanté2.0 we trust ? "
Que le débat commence, tada...
Commentaire