Bonjour.
Fred, bientôt 50, alcoolo assidu depuis 2004, après 20 ans d'alcoolisme qui s'ignore. Toujours socialement présentable (je n'ai pas le vin mauvais), autodestruction méthodique, solitaire et soigneusement cachée à mes proches... Conscient de mon problème depuis quelques années déjà, j'avais besoin d'un déclic (une parole libre et à l'abri de l'incompréhension des "normaux") surtout ces derniers temps où la soif devenait plus impérieuse. C'est vers les AA que je me suis tourné, il y a peu, car les plus connus et : "Il n'y a que des alcooliques pour comprendre un alcoolique". C'est vrai ! Pas de réunion à moins de deux heures de routes de montagne, par contre : vive internet !
Problème : profondément athée, je vois bien ce qui rend le programme AA efficace, quels sont dans leurs grandes lignes les mécanismes psychologiques en jeu, mais prises au pied de la lettre les douze étapes conduisent à devenir évangéliste
Les américains sont plus avancés que nous, avec un large mouvement AA Agnostique, en langue anglaise, le Canada suit et nous cousins francophones aussi, mais ici...
Je ne crache pas dans la soupe pour autant, j'ai trouvé sur le forum européen une aide précieuse grâce à l'humanité bienveillante des alcooliques avec qui je discute là-bas...
Ce que je viens cherche ici, alors ? Tout ce qui manque furieusement chez les AA. L'essentiel de la démarche se passe dans la tête, OK, mais le sevrage entraîne aussi des conséquences physiologiques et psychologiques qu'il est bon de pouvoir identifier pour gérer au mieux les moments de crise. Je garde le souvenir ému de mon sevrage tabagique, fin 2000, à la deuxième tentative, et qui tient toujours le choc même quand par malheur je me retrouve fumeur passif. Il y a des moments où j'en avais ch... et j'ai retrouvé quelques points communs en posant le verre.
Bref, je vais prendre mes habitudes dans ces pages où je trouverai très certainement de quoi lire sérieusement, en tout cas mes premières recherches ici me le laissent penser.
Bon dimanche, sobre.
Fred
Fred, bientôt 50, alcoolo assidu depuis 2004, après 20 ans d'alcoolisme qui s'ignore. Toujours socialement présentable (je n'ai pas le vin mauvais), autodestruction méthodique, solitaire et soigneusement cachée à mes proches... Conscient de mon problème depuis quelques années déjà, j'avais besoin d'un déclic (une parole libre et à l'abri de l'incompréhension des "normaux") surtout ces derniers temps où la soif devenait plus impérieuse. C'est vers les AA que je me suis tourné, il y a peu, car les plus connus et : "Il n'y a que des alcooliques pour comprendre un alcoolique". C'est vrai ! Pas de réunion à moins de deux heures de routes de montagne, par contre : vive internet !
Problème : profondément athée, je vois bien ce qui rend le programme AA efficace, quels sont dans leurs grandes lignes les mécanismes psychologiques en jeu, mais prises au pied de la lettre les douze étapes conduisent à devenir évangéliste


Ce que je viens cherche ici, alors ? Tout ce qui manque furieusement chez les AA. L'essentiel de la démarche se passe dans la tête, OK, mais le sevrage entraîne aussi des conséquences physiologiques et psychologiques qu'il est bon de pouvoir identifier pour gérer au mieux les moments de crise. Je garde le souvenir ému de mon sevrage tabagique, fin 2000, à la deuxième tentative, et qui tient toujours le choc même quand par malheur je me retrouve fumeur passif. Il y a des moments où j'en avais ch... et j'ai retrouvé quelques points communs en posant le verre.
Bref, je vais prendre mes habitudes dans ces pages où je trouverai très certainement de quoi lire sérieusement, en tout cas mes premières recherches ici me le laissent penser.
Bon dimanche, sobre.
Fred
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