Parmi la quadrilogie fantastique du groupe produite entre 79 et 84 (même si les ayatollahs pensent que tout est mort quand Uli Jon Roth a quitté le groupe) composée de Lovedrive, Animal magnetism, Blackout et Love at first sting, même s'il n'est pas facile d'en choisir un seul, je pense que Blackout représente la pierre angulaire des teutons au gros dard.
Des tempo écrasants, lourds ou parfois rapides et entraînants. Des arpèges cleans et des quintes distordues à souhait. Un basse qui groove ou qui annihile tout sur son passage et la voix de Meine qui vient parachever le tout dans un orgasme multipliant les morceaux d'anthologie et donne une cohérence fantastique à cet opus dont il est encore celui dans lequel Rudolf Schenker et sa bande piochent encore le plus à chaque concert.
Des furieux "Dynamite", "Blackout" ou "Now", de l'écrasant "China white" à la ballade "When the smoke is going down", en passant par l'entraînant "Arizona" ou bien les mid-tempos d'antholgie que sont "You give me all I need" et "No one like you", rien n'est à jeter sur cet album. Pas un seul titre de remplissage.
Un LP gratifié d'un succès commercial qui amorce tout doucement les nombreux disques d'or et de platine qui vont venir couronner la galette suivante et son fameux "Je t'aime encoooooooooooooreeeeuuuuuuuuhhhhhh" qui verra un boom démographique arriver en France neuf mois après ce fameux été 1984.
Des tempo écrasants, lourds ou parfois rapides et entraînants. Des arpèges cleans et des quintes distordues à souhait. Un basse qui groove ou qui annihile tout sur son passage et la voix de Meine qui vient parachever le tout dans un orgasme multipliant les morceaux d'anthologie et donne une cohérence fantastique à cet opus dont il est encore celui dans lequel Rudolf Schenker et sa bande piochent encore le plus à chaque concert.
Des furieux "Dynamite", "Blackout" ou "Now", de l'écrasant "China white" à la ballade "When the smoke is going down", en passant par l'entraînant "Arizona" ou bien les mid-tempos d'antholgie que sont "You give me all I need" et "No one like you", rien n'est à jeter sur cet album. Pas un seul titre de remplissage.
Un LP gratifié d'un succès commercial qui amorce tout doucement les nombreux disques d'or et de platine qui vont venir couronner la galette suivante et son fameux "Je t'aime encoooooooooooooreeeeuuuuuuuuhhhhhh" qui verra un boom démographique arriver en France neuf mois après ce fameux été 1984.

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